11 mars 2019Confessions d'un reporter de guerre (VICE) Patrick Baz a passé 30 ans à parcourir les poudrières du monde. En 2014, alors qu’il doit partir à Gaza, tout remonte à la surface. Victime d’un syndrome de stress post-traumatique, le photojournaliste a été contraint de réorienter sa carrière.« C’est une passion. Raconter des histoires, être présent là où elles se passent, rester jusqu’à leur dénouement… C’est une partie de moi. Je ne me suis jamais questionné là-dessus. Et je ne pense pas que je pourrais faire autre chose un jour ». À la vue de cette interview, donnée en 2013 pour les besoins du documentaire « Under my skin », Parick Baz sourit. « C’est dingue comme on peut changer », analyse-t-il froidement, 6 ans plus tard.Moyen Orient•Liban•Photographie
Patrick Baz a passé 30 ans à parcourir les poudrières du monde. En 2014, alors qu’il doit partir à Gaza, tout remonte à la surface. Victime d’un syndrome de stress post-traumatique, le photojournaliste a été contraint de réorienter sa carrière.« C’est une passion. Raconter des histoires, être présent là où elles se passent, rester jusqu’à leur dénouement… C’est une partie de moi. Je ne me suis jamais questionné là-dessus. Et je ne pense pas que je pourrais faire autre chose un jour ». À la vue de cette interview, donnée en 2013 pour les besoins du documentaire « Under my skin », Parick Baz sourit. « C’est dingue comme on peut changer », analyse-t-il froidement, 6 ans plus tard.